Voici un synoptique qui montre le mécanisme général entre la touche et le résultat sur l’application.
Le point crucial à comprendre est que le clavier n’envoie pas directement des lettres au PC mais simplement une information qui dit : «j’ai appuyé sur la touche qui se trouve sur la colonne X et ligne Y». Ensuite c’est le PC qui interprète ce que cela signifie en fonction de la disposition choisie.
Les verrouillages majuscule et pavé numérique (VerMAj et VerNum) sont associés à une LED. Celle-ci n’est pas piloté par le clavier. Là aussi c’est le driver de clavier côté PC qui comprend la demande, puis qui vous renvoi l’information comme quoi il a changé de mode. Cette information de mode est stocké par le PC. C’est pourquoi le VerNum peut s’allumer en même temps qu’on allume le PC alors qu’on a rien demandé.
Ensuite, certains logiciels applicatifs peuvent faire une interprétation différente de celle du driver de clavier. Par exemple, en faisant une action au lieu d’écrire une lettre. Ou en modifiant ce que vous avez choisi d’écrire : correction automatique pour l’orthographe ou transformer un « :-) » en « ☺ ». (Les smileys disposant de leur propre Unicode. Un grand nombre d’émoticônes, en couleur s’il vous plaît, ont été ajouté depuis l’Unicode version 6 puis 10.)
Cela est parfois problématique car certaines logiciels applicatifs ne reconnaissent pas les claviers non standard.